Apprend à vivre autrement

mardi 29 novembre 2016

La concurrence - Une forme pure de motivation

07:00:00
Ha la concurrence. Beaucoup en ont encore peur mais ça ne durera que jusqu'à la fin de cette article. Elles est obligatoire. Sans concurrence rien ne se crée. L'idée même de créer revient à dire je suis meilleur que toi, regarde je l'ai fait avant toi. De ce principe par le second, la personne qui n'a pas créé en premier va chercher à impressionner l'autre ce qui va donner une idée encore plus grande avec un deuxième projet.

Ainsi de suite avec à chaque fois une idée plus grande on en arrive au monde dans lequel on vie. Il ne serait pas au quart de ce qu'il est si il n'y avait pas eu de paris ni de concurrence. C'est une façon de bouger, de se confronter aux autres sans la violence des coups. La concurrence permet de faire ressortir un gagnant, mais seulement temporairement. Jusqu'à ce que quelqu'un face mieux. C'est cette place qui est en perpétuelle changement, la première.

Ceux qui créent veulent devenir premier par tous les moyens possibles et imaginables. Certes il y a des coups bas mais c'est de cette idée de devenir le meilleur que naît l'innovation. Si l'on se contentait de découvertes au hasard, l'humanité n'avancerait pas aussi vite.

Depuis toujours les hommes s'affrontent pour déterminer des gagnants. La réalité c'est qu'il n'y en a pas. Les gagnants ne restent jamais longtemps sur le trône, à un moment ils sont remplacés par quelqu'un de plus puissant qui prend la relève avec une idée encore plus merveilleuse. Notre but, à nous ce n'est pas forcément de passer par ce trône. Être le meilleur parmi 7 milliards ne veut rien dire, il faut d'abord définir les termes de cette quête. Meilleur en quoi ? Comment peut-il prouver qu'il est supérieur à son voisin ?

C'est la concurrence qui force les hommes à rivaliser d'imagination pour passer le cran au dessus. Les inventions durant les années de guerres n'ont été créé pour tuer mais pour gagner. Or pour gagner il faut développer de nouveaux armements qui permettent d'avoir des avantages sur l'adversaire. Sachant que moins il y a d'opposant sur le champ de bataille plus écrasante est la victoire... Tu as compris l'idée.

Sans aller jusque dans les extrêmes, la concurrence est saine. Elle permet aux hommes de se renouveler et de donner le meilleur d'eux mêmes pour développer des projets nouveaux. C'est là que naissent les évolutions technologiques. Toujours plus en avance sur les autres.

En étant en compétition avec d'autres tu vas chercher à les dépasser, à finir en premier la course. Hé pour ça tu vas trouver des stratégies gagnantes - ou perdante - qui vont te permettre de te démarquer. Cela ne veut pas dire qu'à la fin il ne restera qu'une idée. Même dans les grands groupes il y a des fusions. On additionne ainsi les bonus de chacun des deux camps pour avoir un impact maximale. Hé puis, la concurrence, ça te donne l'occasion de montrer que tu es le plus fort !

évolution concurrence
L'évolution aussi tient compte de la concurrence !

Même l'évolution vient de la concurrence. Les gènes sont brassés pour chaque nouveau né ce qui lui donne des caractéristiques propres. Si elles ont un impact positif (Cerveau plus grand), il survivra mieux, se reproduira et diffusera ses gènes positifs. Si ils sont négatifs pour l'homme (Mauvaise résistance aux maladies), celui-ci ne survivra pas assez longtemps pour se reproduire dans la plupart des cas. Il y a donc une concurrence entre tous les gènes, et seules les meilleurs sont sélectionnés. Comme on le dit si bien :

La loi du plus fort est toujours la meilleure

dimanche 27 novembre 2016

Un nouvel état d'esprit - Une incantation magique à répéter tous les jours

07:00:00
Livre de sorcellerie
On va faire de la magie noire...
Mais on ne vas pas transformer ton pire ennemi en chauve-souris ou lancer un Avada Kedavra digne de l'univers d'Harry Potter. Pas la peine de rêver - Même si ça pourrait être sympa - ce n'est malheureusement pas possible. On va retourner dans le réel pour ce servir d'un vieux grimoire poussiéreux que je viens d'inventer, comme par magie.

Aujourd'hui c'est un message motivant rien que pour toi - et les autres lecteurs - qui devrait te faire prendre conscience de plusieurs phénomènes. Tu es ce que tu penses que tu es, en te répétant certaines phrases en boucle mais en arrêtant juste avant de devenir fou tu peux changer ta façon d'agir. En ancrant dans ta petite tête que tu es quelqu'un de merveilleux, que tu as des projets, un avenir tout tracé et tout le baratin habituel tu vas devenir cette personne.

Tu ne me crois pas ? Al Capone, ennemi public n°1 se répétait depuis son enfance qu'il était un bienfaiteur public. Quand on l'a arrêté il n'a pas compris pourquoi. Il se croyait innocent. Même si il a tué des centaines de personnes...

En anglais on parle de mindset, on pourrait dire état d'esprit mais c'est franchement moins classe. Le mindset c'est ce que tu as dans la tête en permanence. C'est ton mantra que tu te répètes inlassablement à longueur de journée. Avec le bon mindset, tout est possible ! 

C'est là que ça coince. Le bon mindset, c'est quoi ?

Chacun forme son état d'esprit de rêves d'enfance, de projets du futur, de conquêtes, de devenir. Tout le monde en a un différent, par exemple tout le monde ne prétend pas vouloir coloniser Mars comme Musk. Heureusement d'ailleurs, sinon le système solaire ne suffirait plus pour les rêves de chacun...

Ton état d'esprit doit te correspondre, c'est une personnalité à part entière. Quand tu es démotivé tu fais appel à ce mindset pour qu'il te rappelle ce que tu veux faire. Si ta tirade se contente d'un :

J'aime bien ma vie, je suis un bonhomme cool et je veux devenir champion de Hockey

Déjà c'est trop court. En une ligne c'est impossible de dire "j'aime bien ma vie". Il y a forcément des facettes qui ne te plaisent pas et c'est clairement se voiler la face et enlever sa part de responsabilité. Ensuite, "cool" ça ne veut absolument rien dire, il n'y aucune définition. Pour finir, champion ? O.K. à quel niveau ? A l'échelle du quartier ou mondialement connu ?

Ça c'est pour le mauvais exemple. On en vient à une idée plus concrète, plusieurs paragraphes qui rassemblent les concepts clés. Une visualisation précise :

Je réalise que le bonheur ne peut pas venir des autres. Il m'est intérieur, donc je suis la seule personne ayant une influence sur celui-là. De ce fait je suis puissant, joyeux, présent, je sais d'où je pars et vers où je vais, j'en suis conscient et personne ne peut m’ôter ce pouvoir de visualiser. J'ai une vision claire, je connais les étapes, les difficultés et ce ne sont que des formalités. Je le sais déjà, j'en rêve la nuit et j'y pense la journée : je vais réussir. Ce n'est plus une question de moyen mais un court moment à patienter. Je met tout en place pour la réaliser, et je sais que ma quête se poursuivra bien après son achèvement.

Je sais qui je suis et personne n'a le pouvoir de m'empêcher d'être cette personne. Je suis confiant et remet en cause ce qui doit être remis en cause, termine ce qui doit être terminé, applaudis ce qui doit être applaudi. Je n'assume pas partiellement mais entièrement mes actes, ils sont justes et correspondent à ma philosophie de vie. Ma vision est unique et je ne laisse pas les autres interférer avec elle. Je n'ai à me justifier aux autres, mon but est tracé. Je vais changer le monde. Améliorer la vie des autres, inspirer les cœurs et laisser derrière moi un héritage mémorable.

Je suis un entrepreneur, je sais ce qui doit être fait. Je sais comment apporter ma pierre à l'édifice pour y contribuer et le rendre plus grand. Rien n'existe en dehors de ma sphère d'influence, je ne laisse pas ce qui n'est pas important prendre de l'ampleur. Je reconnais uniquement les informations pertinentes et les personnes importantes. Elles seules seront là pour féliciter la réalisation de mon oeuvre.

Voilà un formule magique. Je t'invite à le relire dès que tu ressens un manque d'ambition et pourquoi pas l'apprendre. C'est une forme de pouvoir que de se rendre compte de son influence sur le monde. D'autant plus que tu as ce pouvoir. Maintenant c'est à toi de définir ce but si précieux qui dirige ta vie, n'oublie pas de l'accomplir.

Un Homme n'est rien sans but 

vendredi 25 novembre 2016

Comment apprendre - La méthode Musk

08:00:00
Ce cher Elon Musk compte conquérir Mars d'ici 2026. Mais ce n'est pas un de ces ingénieurs fous. Il a un niveau d'étude similaire au bac, pourtant il est le PDG de trois entreprises révolutionnaire - SpaceX, Tesla, Solar city - et le fondateur de Paypal. Rien que ça. N'importe qui aurait pu en faire autant. Rappelons le, tout ce qu'il sait il l'a appris sur le tas. Déjà à 13 ans il a développé un jeu. Il le revendra pour environ 500 dollars. De quoi annoncer le départ de la course à l'innovation

Le pdg de tesla spacex solar city
Elon Musk
Il en connaît un rayon sur tout ce qui est aéronautique, aérospatiale, programmation, création d'entreprise... Le meilleur dans tout ça, c'est que ses connaissances ne viennent pas de cours qu'il a suivit à la fac. Non, il a tout appris dans des livres, en lisant plusieurs grimoires sur le même sujet, encore et encore. Depuis qu'il est enfant il le fait, il lisait déjà plus 5 de heures par jour lorsqu'il était adolescent.

En additionant toutes ses heures on arrive à un nombre astronomique. N'importe qui se donnant le même temps qu'Elon arrivera à apprendre ce qu'il veut. C'est simple. La recette c'est de ne jamais abandonné. De continuer à lire en ayant une passion pour ce que l'on fait. Tu es sûrement passionné par un domaine. Je sais très bien que ça ne t’embête pas de passer tes journées à travailler dessus.

C'este exactement le même raisonnement qu'il faut utiliser pour comprendre comment Musk a appris autant. Une passion ardente, le feu sacré qui le dirige vers ses objectifs. Il a utiliser énormément de son temps pour atteindre son but. Il y arrivera. Si toi aussi tu commençais à utiliser ton temps libre pour apprendre tu pourrais en faire autant.

Pour ça, tu vas te fixer un objectif tous les jours : Une heure de lecture !

Mais pas des contes de fées. De toute façon elles n'existent pas. Des livres pour apprendre. Peu importe tant que tu comprends de nouveaux concepts et que tu élargis ton champs de pensée. C'est ça le but. En quelques mois tu devrais sentir une différence : tu auras plus de connaissance.

mercredi 23 novembre 2016

Pokemon Go - Le succ... La stratégie de l'échec

07:00:00
Ha, une déferlante ce jeu. A ce qui paraît... Enfin, c'était le cas durant cet été. Maintenant on est au point mort. Pour ceux qui ne se sont pas laissé tenter par l'un des premiers jeux en réalité augmenté j'explique le concept. Les Pokemons sont des animaux bizarres. Ils des compétences et sortent de l'ordinaire - pour certains - avec des capacités rappelant les éléments.

Bon c'est chouette tout ça. Mais l'intérêt c'est qu'on peut les capturer et le top c'est de les faire se battre entre eux ! On dirait un peu de l'esclavagisme vu comme ça, mais ça reste des pixels donc pas de soucis. Pour les attraper il faut se déplacer avec l'application ouverte, et comme par magie ils apparaissent à travers l'appareil photo. Là c'est le moment de lancer une Pokeball - vive l'inspiration - pour les capturer et combattre avec !

Jusque là, tout va bien. Le jeu à l'air d'être énorme, de promettre du fun et de l’interaction avec les autres joueurs. Super programme ! Sauf que tout ça c'est dans l'imagination du joueur. La boite qui a développé le jeu a fait une pub énorme autour des combats entre joueurs, des Pokemons légendaires - lire inexistant - , une carte, des échanges et des nouveaux Pokemon, à savoir qu'il y en a 150 dans le jeu actuellement.

Bref, la moitié de ces promesses ne sont pas tenues ce qui a énormément déçu les joueurs - dont moi - pour la bonne raison que c'est une "publicité mensongère". Le contenu n'est pas finit, le jeu était truffé de bug à sa sortie. Pourtant Niantic a fait une campagne exceptionnel ! Dès la première semaine plus de 100 millions de téléchargements, du jamais vu.

Comment un jeu aussi populaire a pu se planter ?

pokemon go image
Pikachu, le Pokemon de référence !

Simple, le jeu est extrêmement répétitif. Se balader, trouver un Pokemon, le capturer, trouver un pokestop, refaire le même chemin parce qu’il est "optimisé". Voilà. Sinon, plus tard - trop - dans le jeu on débloque les arènes. Le soucis c'est que les joueurs qui les occupent sont beaucoup plus avancés dans le jeu. Impossible de jouer contre eux, perdre est une obligation.

A la sortie du jeu il y avait une carte qui indiquait à peu près l'emplacement des Pokemons. Puis suite à des bugs l'entreprise a enlevé cette fonction. Bref on a un gps qui ne guide pas le joueur, il se balade sans savoir où il va. Ça peut être marrant pour certaines personnes, moins pour d'autres.

Un jeu qui n'est pas entretenu. Malgré les dires de Niantic le jeu sombre dans l'oublie. Les joueurs partent parce que les fonctionnalités qu'ils attendent d'un tel jeu ne sont pas présente. Il faudrait donc rajouter du contenu pour coller à la première publicité qui a été faite pour le jeu.

Il faudrait également une amélioration global du gameplay. Quelque chose de plus trépidant, de plus humain ! Durant les premières semaines j'ai croisé plein de monde entrain de jouer, c'était fun de discuter avec ces gens. Mais après c'est devenue aussi abandonné qu'une maison hantée... Il faut mettre en place des interactions entre joueurs et laissé parlé l'inattendue. Tout peut être prédit dans ce jeu, c'est ce qui retire l'amusement.

L'équipe n'a pas su communiquer efficacement avec les joueurs. Il y a pleins de messages sur les réseaux sociaux de joueurs proposant des améliorations, aucune n'a été prise en compte. D'autant plus qu'à la place de donner des dates de sorties les développeurs se contentent d'un simple : Bientôt. De quoi mettre la rogne aux joueurs qui ont déserté l'application.

Note : C'est une super appli pour aller courir ou faire du vélo, même si la distance affichée n'est pas exacte...

Pour ceux que ça intéresse, voici le trailer :


lundi 21 novembre 2016

La loi 80/20 - Faire plus en faisant moins

07:00:00
Sous ce doux nom se cache la loi de Pareto. Venant d'un économiste italien du nom de Vilfredo Pareto. Quelle coincidence ! Il va découvrir qu'environ 80% des effets sont produits par 20% des causes. Intéressant mais ça ne parle pas beaucoup sous cette forme...

Graphique loi de pareto
Le principe de Pareto : 20% des causes amènent 80% des conséquences
Autrement dit, pour une entreprise qui a 10 clients, 2 de ces clients sont de gros acheteurs. Ces deux là achètent 80% des produits. Puis il y a les 8 autres clients, ceux là ne sont pas friand de l'entreprise, ils ne représentent que 20% de son chiffre d'affaire.

C'est bien beau tout ça, mais comment on peut s'en servir ?


D'abord il faut identifier les 20% de tâches qui apportent 80% du résultat. Tout le reste n'est pas inutile, mais presque. En te concentrant uniquement sur les travaux importants tu vas obligatoirement avancé. Un exemple ?

Pour ce site, qu'elles sont les 20% qui rapportent 80% ?

Ce sont les articles, la recherche de lecteur, la newsletter ! Pas le logo, pas les images, pas le fond mais la forme. Sans les articles le site ne vie pas. Tu serais déjà loin si il n'y avait qu'un logo sur cet page.

Pour toi aussi ces 20% qui ramènent 80% du résultat existent. Le plus dur c'est de découvrir qu'est ce qui te rapporte le plus de valeur. Là c'est à toi de faire un effort. Mais pour t'aider, tu peux commencer à te poser une question. Si j’arrête cette activité, qu'est ce qui va se passer ? Si rien de grave ne se produit c'est une tâche inutile.


Une analyse rapide


Si j’arrête de regarder ma boite mail ? Je vais louper 2/3 newsletter,et l'actualité. Est-ce important ? Non... Je peux donc exclure regarder la boite mail de mes tâches importantes.

Si j'arrête d'écrire des articles ? Il n'y en aura plus de nouveaux. Le site ne sera plus à jour, les robots indexeurs viendront moins souvent, le site va couler. Est-ce important ? Oh que oui !

Il suffit d'appliquer cette formule magique à toutes tes tâches quotidiennes. Tu vas voir ! La moitié de ce que tu fais ne sert à rien, ne t'apporte aucun bénéfice et dévore ton temps inutilement. En une phrase :

Concentre toi uniquement sur ce qui compte

samedi 19 novembre 2016

Warren Buffet - Une méthode pour investir

10:29:00
Le point commun intellectuel de tous les investisseurs de Graham-et-Doddsville est le suivant : ils recherchent des différences entre la valeur d'une entreprise et le prix des petits éléments (les actions, NDLR) qui le composent
Cette idée date d'il y a 30 ans. Pourtant elle fait encore fureur aujourd'hui. Plus clairement, il faut acheter des actions sur une entreprise grandissante. Une action qui a moins de valeur que le prix actuel de l'entreprise. Une idée révolutionnaire, avant on achetait un peu au hasard...

Ce qui change ? Pas grand chose. Les mauvais investisseurs ne se serviront pas de cette méthode. Les bons la connaissent déjà. C'est surtout une question d'application de ce que tu lis. Si tu te contentes - comme la majorité - de simplement lire sans rien faire par la suite tu n'appliqueras rien. Tu resteras toujours au même point même si tu dévores des bouquins pendant plusieurs années.

La clef d'un bon investissement c'eest de ne pas avoir peur. La peur paralyse, elle effraie et fait prendre de mauvaises décisions. En regardant le Dow Jones Industrial Average - CAC 40 américain - on remarque que la courbe ne fait que de grimper depuis les années 1900. Même si il y a des creux, la courbe ne s’arrête pas de monter.

Tu vois tous les crash boursiers ?
Pourtant la majorité des gens ont perdu de l'argent en bourse sur cette période ! Comment ça se fait ? Les investisseurs n'avaient pas de cran. Ils ont investit pour gagner de l'argent, dès que la bourse commençait à descendre ils vendaient leurs actions. Mais c'était déjà trop tard, ils avaient déjà perdu une bonne partie de leur pécule.

La seule solution c'est de laisser ses actions sur le marché le plus longtemps possible. Peu importe ce qui se passe, la bourse continue de grimper. La meilleur technique c'est de mettre de l'argent dans la bourse tous les mois, de l'oublier puis de se servir des décennies plus tard. Là tu auras fait fortune uniquement avec des investissements.

jeudi 17 novembre 2016

Stop aux critiques - Vers le début d'une réussite sociale

07:00:00
Je n'ai pas encore finit de me développer. Ne me critiquez pas dit l'orme. Jusqu'au moment où il dépasse de loin ses rivaux...

Cet orme a poussé sur plusieurs décennies pour devenir aussi robuste
Avouons le. Nous avons tous tendance à critiquer et à nous plaindre - Je m’inclue dans ce nous -. Je ne sais pas vraiment d'où vient cette pratique. Sûrement qu'on trouve un certains réconfort en disant du mal d'une certaine chose. Que l'on se sent supérieur en lui enlevant tout pouvoir ainsi qu'en la rabaissant en la critiquant. Il n’empêche que c'est une mauvaise pratique dont on se sert encore trop souvent.

Quand tu n'en peux plus, quand tes amis te poussent à bout, quand des événements d'ampleur te dépassent tu te retrouves dans tous tes états. Tu es désemparé et ne sais pas comment  surpasser cette épreuve. Tu vas donc trouver des excuses pour passer à travers ta propre remise en question. C'est là que le mal se produit. En rejetant la faute sur les autres, ou même sur des événements tu te déresponsabilise totalement.

Tu ne te sens pas coupable et tu commences à blâmer les autres. C'est là qu'on rentre dans la zone rouge ! Personne n'aime se sentir rabaisser ! Ni même manquer de respect. En attaquant d'autres personnes tu risques de déclencher des conflits. De te laisser aller à un retour de flammes. Rien qui n'en vaille la peine... Surtout que tu ne sais pas dans quelle aventure tu débarques.

Mieux vaut ne pas s'aventurer dans cette région hostile. Tu ne sais pas ce qui t'y attend - crois moi, souvent de mauvaises surprises ! - alors tu vas contourner. Dévier ! Tu ne veux pas blesser tes amis et encore moins les avoir sur le dos pour une bêtise que tu viens de raconter. Surtout que c'est simple à éviter. Avant de parler réfléchit toujours à tes prochains mots. Mieux vaut parler peut pour rester mystérieux en intervenant uniquement aux bons moments que de déblatérer des phrases sans la moindre logique. Rappelle-toi seulement de cette phrase clef.

La seule personne à critiquer, c'est toi même

C'est un peu différent quand tu te plains d'une condition. Que ce soit de ton travail, de la pluie et du beau temps ou d'un soucis informatique. Comme dit juste au-dessus : En se plaignant on cherche à se déresponsabiliser de nos actes. En ne se sentant pas impliqué on ne cherchera pas de solutions. Logique ?

Pas de solutions, pas d'amélioration de la situation. Ce qui amène à d'autres plaintes. Bref on n'avance pas dans ces conditions. C'est là que tu vas pouvoir intervenir. Tu vas changer d'état d'esprit en devenant libre d'agir sur le monde qui t'entoure. Dès que tu rencontres un problème embêtant tu vas le définir avec ces 4 points :

  • La cause - Pourquoi ? Comment ?
  • La durée - Quand ? Sur quelle durée ?
  • L'impact - Quelles conséquences ?
  • Il existe une solution ?
Tu ressens ton emprise sur cette situation ? C’est toi qui en est le maître. Cette solution que tu viens de trouver, tu vas l'appliquer. Même si ce n'est pas entièrement possible tu vas t'arranger pour réduire au minimum l'emprise négative du problème sur toi. Tu ne dois pas lui laisser prendre de l'ampleur. Un peu comme si c'est un feu que tu essaies d'éteindre. Plus tu attendras plus il te faudra de temps pour arriver au même résultat.

Si tu résous ton problème, tu n'auras plus besoin de te plaindre. C'est là que la magie opère : Si tu n'as plus besoin de te plaindre. Je te le laisse dans le mille : Tu ne vas pas te plaindre ! Tu vas voir la vie avec un autre filtre, celui-ci est propre. Maintenant c'est à toi de prendre les décisions pour "nettoyer" tes problèmes et éviter de les transformer en plainte. C'est pas mieux d'avoir moins de problèmes ?

En parlant de soucis, tu vas voir que te plaindre ne te rapporte rien. Juste du texte à prononcer. Comme on l'a déjà mentionner, en critiquant tu t'autorises à ne pas être acteur de ta vie, à devenir passif - Un des pires états d'esprit si tu veux mon avis -. Ensuite c'est tout ton rapport aux autres qui est remis en question. Si tu te plains constamment tu n'apportes aucune valeur à un groupe de discutions. Tu risques même d'y perdre des amis...

Mais ce qui est encore plus important c'est que les personnes qui se plaignent sont mal vues. Elles donnent une image négative d'elles même. Un manque de volonté mais surtout une non prise de conscience qu'il est possible de changer cette état d'esprit. Possible de comprendre que se plaindre, et critiquer les autres n'amènent nulle part si ce n'est en-dessous du point de départ. Ne commet pas cette erreur ! Tu vas déjà doubler une bonne partie des gens dans la course au succès.

mardi 15 novembre 2016

4 ajustements qui vont faire une différence dans ta vie

18:09:00
Homme en cravate

Faire des choix n'a jamais été simple. Il faut tester une à une les possibilités pour découvrir les meilleurs ajustements. Il faut du temps, de la volonté et du courage. Monsieur tout le monde ne souhaite pas forcément remettre en cause tout ce qu'il a l'habitude de faire. Que ce soit par fainéantise ou justement par habitude cette personne tombe dans le piège d'une vie banal, sans saveur. Certaines personnes souhaitent bousculer leur quotidien. Si tu es ici c'est ton cas. Pour aborder le sujet je vais commencer par mon histoire :

Au début de mon adolescence j'étais quelqu'un de plutôt réservé, je ne parlais pas beaucoup et n'avait que peu d'amis. Mon occupation ? Les jeux vidéos, comme la majorité des jeunes. Mais j'avais tendance à jouer bien plus que la moyenne. En bref le cliché du geek boutonneux derrière son ordinateur à pianoter sur son clavier.

Mais je n'ai pas tout changer. Je pianote toujours sur mon clavier, si ce n'était pas le cas tu ne serais pas entrain de lire cet article. A l'opposé je suis devenu plus sociable, je parle beaucoup plus et j'exprime mon opinion. Ce que je ne faisais pas assez avant.

Pourquoi cette histoire ? Une introduction à ces 4 ajustements qui vont changer ta vie. Ce titre tape à l’œil n'est pas mensonger. C'est bien la méthode que j'ai utilisé. Aller, au boulot maintenant !

Sortir les personnes négatives de sa vie

Que ce soit un de vos amis proches, une connaissance ou même un membre de votre famille, cette personne a des idées moroses. Elle passe le quart de ses journées à ronchonner sur son sort et le reste à dormir. Pas très productif. Surtout que c'est dans ses meilleurs jours. Alors imagine les mauvais jours. Mieux vaut ne pas traîner dans le coin !

Je me doute bien que tu ne peux pas couper net tout contact que tu as avec ces personnes. Pour ça tu vas devoir y aller progressivement, t'éloigner petit à petit de leur influence négative. En te dirigeant vers de vrais amis qui sont là pour te soutenir et t'aider à avancer

Prendre conscience de l'importance de son temps

Ton temps est ce que tu possèdes de plus précieux. Ce n'est pas la première fois que tu lis cette phrase sur mon blog. Je le répète parce que je le pense sincèrement. Notre temps ne peut pas être stocké dans un coffre en banque. Il est dépensé en permanence et l'on ne peut que l'utiliser.

Ce qui amène à bien l'utiliser, dans le but d'accomplir tes rêves. Tu devrais te faire une boite dans laquelle tu glisses des bouts de papier sur lesquels tu écrits ce que tu souhaites réaliser. Une occupation formidable pour les moments ou tu t'ennuies. Mais ça n'arrive jamais ça, pas vrai ?

Avoir une bonne image de soi même

C'est vraiment dommage de se saboter soi-même. Surtout que c'est simple à éviter : Si tu penses que le pire arrivera, il arrivera. Si tu penses que le meilleur est à venir il sera là juste pour toi. Aussi simple que ça. Dans ce domaine le verbe croire devient être avec le temps.

Tu es ce que tu penses est tout aussi vrai que tu es ce que tu manges. Stop aux informations négatives ! Commence à apprendre ce que tu as envie d'apprendre, passe ton temps à créer des plans, prépare ton avenir. Mais surtout tu dois créer une image de toi même qui te correspond pour ne pas paraître faux. Deviens toi même si ce n’est pas déjà le cas.

Changer ce qui ne passe pas

Tu veux réaliser ton rêve. Disons que c'est de créer un business. Le vent joue contre toi : Tu n'as pas d'argent, pas d'expertise et ne sait pas par où commencer. On résout les problèmes un par un. Pas d'argent ? On s'en fiche il n'en faut pas pour faire un premier test. Pas d'expertise ? Tu oublies google mon ami ! Par où commencer ? Hé ! Fais un plan non ?

Chaque problème à sa solution. En la trouvant tu es plus malin que tout ceux qui préfèrent contourner les soucis. Ceux là n’apprennent rien. Il se contente de regarder. Ne laisse pas les obstacles entraver tes rêves. Ils sont juste là pour empêcher les plus faibles de parvenir à leurs fins... 

Réussir en visualisant - 2 histoires marquantes

12:17:00
Simon, jeune étudiant est un des meilleurs éléments de sa classe. Il va bientôt passer l'équivalent du bac et veut absolument faire partie de l’université d'Oxford. Son rêve ? Devenir le premier ministre britannique. Malheureusement, il est recalé. Il a travaillé si dur toute l'année pour rien.
Pourtant, il sourit encore. Les vacances débutent, il reçoit ses résultats : "Assez Bien" dans toutes les matières. Il n'en démord pas, il a même un petit sourire en coin.
Deux semaines avant la rentrée il décide de visiter un à un chacun des campus d'Oxford a raison de six par jours. Il lui faudra atteindre la 22ème université pour trouver ce qu'il cherche : Une chaise libre. Il va voir le proviseur, lui explique sa situation. Le directeur lui fait un clin d’œil, impressionné de la détermination de Simon. Il lui permet d'intégrer le campus d'Oxford.
Cinq mois plus tard, Simon devient président des classes. Un poste important, digne de son ambition de premier ministre. Un pas de plus vers son rêve de toujours.
Simon, un gagnant

Ça c'est l'histoire de Simon, un jeune ambitieux. Il sait ce qu'il veut et va le chercher. Peu importe ce que ça lui coûte. Il n'est pas encore premier ministre mais ça ne saurait tarder.

Il a déjoué un piège. Celui là, bon nombre d'entre nous seraient tomber dedans. Admet le, tu aurais laissé tomber la carrière de premier ministre - irréaliste - pour un autre travail plus abordable, plus standard.

Je peux te dire que j'aurai fait de même, je n'ai pas la prétention de vouloir faire de la politique. Quoi que, n'importe qui peut y arriver - Donald Trump - avec beaucoup de motivation.

Toujours aussi déboussolé pour rallier ton rêve ?

On part pour la deuxième histoire, celle de Luc.

Luc a 37 ans. Il est banquier à New York, il mène un train de vie luxueux bien mérité. Il a finit ses études à 28 ans à causes de plusieurs redoublement. Maintenant c'est lui le patron de sa propre banque.
Un symbole de succès pour certains. Le plus de grand de ses malheurs pour lui. Luc est triste, il travaille plus de 70 heures par semaines et ne profite même pas de son dimanche. Il continue de répondre aux appelles de ses clients millionnaires.
Mais tout va changer ce jeudi. Il réussit à se libérer pour une sortie entre amis. Il est avec ses copains de l’université. Ils discutent, ils ne se sont pas revue depuis bien longtemps. Ils sont tous surpris du statut mirobolant de Luc. Mais ne retrouvent pas son sourire d'antan.
Il a changé. Il n'est pas épanouie. Au départ Luc souhaitait travailler à son compte pour créer une entreprise style de vie. Le but ? Avoir le maximum de temps pour lui, et surtout ne pas travailler pour l'argent. 20 ans plus tard il est à l'exacte opposé de ses projets. Maintenant c'est à lui de changer.


Tien, c'est pas Luc ?

Un peu moins inspirante celle-ci. Pauvre Luc ! Il possède beaucoup, a une vie de rêve mais est malheureux. Si le bonheur se trouvait simplement dans l'accomplissement des rêves ? Hé pourquoi pas ?

Si il avait le caractère de Simon, il se serait battu pour obtenir ce qu'il désirait. Il aurait fonder son entreprise et aurait pu vivre comme il l'entendait. Il aurait accomplit son but.

La réussite se trouve donc dans le bonheur que nous procure la vie de tous les jours. Simon s'éclate, il trouve des stratégies pour conquérir. Luc fait l'inverse de ce qu'il aime. Il ne peut pas s'épanouir dans un environnement qu'il n'aime pas. C'est à lui de comprendre qu'il doit absolument changer pour devenir heureux. Ses amis devraient l'aider !

Plutôt Simon ou Luc ?

J'oubliais, ce sont deux histoires fictives qui viennent de mon bac blanc d'anglais de la semaine dernière. De là à dire que l'inspiration est partout il n'y a qu'un pas...

samedi 12 novembre 2016

Trump président - Les 5 techniques marketing derrière son election

08:18:00
Note : Je ne supporte en aucun cas les croyances et idéologies de ce personnage.

Donald Trump

De son prénom Donald. Un self-made man comme on en fait plus beaucoup. Il a commencé très jeune à travailler pour son père. Il construisait des maisons en briques. Depuis ce temps Donald s'intéresse à l'immobilier, son secteur principal. Mais lui n'a pas décidé de s’arrêter à ériger des murs de briques.

Il a décidé de voir plus grand. Il a investit directement dans de grandes affaires pour pouvoir miser plus gros. De fil en aiguille il a bâti son empire. Je suis même prêt à parier qu'il s'est présenté aux élections à la suite d'un pari ou d'une histoire entre copain comme "Cap de te présenter ?"

On va dire qu'il a réussit son coup, même si ça ne convient pas à la moitié de la population mondiale. Il est dorénavant le 45ème président des états unis d'Amérique. Il lui aura fallut 70 ans pour réussir cette prouesse mais il y est arrivé. Il a pris les bonne décisions qui lui ont permit d'atteindre le haut du classement.

Le plus important, c'est sûrement sa campagne. En dévalorisant la moitié de l’Amérique, plusieurs ethnies et religions il a quand même obtenu l'adhésion de plus de la moitié des votants. On voit là l'oeuvre d'un marketing bien rôdé.


  • Tous ses speechs sont basés sur une stratégie. Il fait ressentir des émotions à ceux qui l'écoutent quand il prend la parole, principalement la peur, la colère et la joie. A chaque fois c'est la même idée. Un discours qui effraye, un discours qui fâche et après une solution. Dans tous les cas il y a des réponse positives. Comme il l'écrit dans son livre The art of deal, il reformule les questions qui lui sont posés à son avantage pour ne pas parler du négatif. Bien sûr, il ne faut pas faire du hors sujet lors des interviews.
  • Il est le symbole du rêve américain. Un homme, partit de peu qui est monté au sommet. C'est pour ce symbole de gloire que les américains ont votés. Le rêve américain n'est qu'un rêve, rare sont ceux qui font fortune, nombreux sont ceux qui en font des cauchemars.
  • On retrouve un homme de show. Quelqu'un qui sait se mettre en scène, qui est capable d'assumer tout ce qu'il raconte sans se soucier de l'avis des autres. Il est indépendant et joue le jeu. Comme si il était un comédien sur scène.
  • Il parle d'une masse invisible. Tout le monde peut s'y apparenter parce qu’elle n'existe pas. L’intérêt de cette formulation c'est de donner l'idée au gens qu'ils ont un pouvoir, et ce pouvoir c'est de changer la face de l'Amérique. Et comment peuvent-ils le faire ? Très simple, en votant Trump !
  • Il promet la haine. Il utilise des mots choquants qui font qu'on parle de lui. La preuve ? Cet article... et bien d'autres un peu partout dans le monde. Il s'enfiche totalement que l'on parle de lui en mal ou en bien, l'important c'est que son nom soi dans tous les journaux, ça lui fait de la pub gratuitement et facilement.




mercredi 9 novembre 2016

Les 5 techniques des SEALs pour un esprit pare-balles

10:14:00


On ne peut pas les considérer comme des personnes normales. Les SEALs (Acronyme de "Sea, Air, Land") sont des soldats surentraîner pour faire face à tous les obstacles. Ils sont capables de survivre dans des conditions épouvantables, de contrer des attaques terroristes et de se déplacer avec aise dans n'importe quel environnement. Ils font bien entendu partie de la marine américaine.

Mais pour arriver à un tel niveau, digne d'un athlète de haut niveau il y a une formation. Elle sort carrément de l'ordinaire : course chronométré, parcours d'obstacles et natation sont les principales épreuves. Sans oublier tout ce qui est technique : maniement de bateaux, apprendre à viser, à survivre et à garder son calme. En moyenne 150/1000 personnes sont recrutés à la fin du camp d'entraînement. Pas simple de rentrer chez les SEALs.

Mais ce qui nous intéresse c'est le mental de ces bonhommes. Ils ne sont pas là pour faire dans la dentelle. La deuxième phase d'entraînement est basé sur l'endurance. Ils doivent être capable de nager entre 5 et 10 kilomètres en pleine mer. Je tiens pas 500 mètres...

Un mental d'acier

Plus que le physique le mental compte pour devenir SEAL. C'est ce qu'écrit Brandon Webb, un formateur des SEALs : 

What SEAL training really tests is your mental mettle. It is designed to push you mentally to the brink, over and over again, until you are hardened and able to take on any task with confidence, regardless of the odds—or until you break.

Ce que l'entraînement des SEALs test vraiment c'est le courage mental. Ces tests sont fait pour pousser les futures SEALs à bout; Encore et encore pour les endurcir jusqu'à ce qu'ils puissent réaliser n'importe quelle tâche avec confiance. Peu importe le degré de difficulté.

Le secret n'est pas dans le corps. Il est dans la tête ! C'est ce que nous allons découvrir avec ces 6 techniques pour avoir un esprit pare-balles.

1. La visualisation du succès

Ils sont capables de réussir car ils imaginent déjà la réussite. Dans leur tête il y a une image claire : celle d'un homme victorieux, les mains levées vers le ciel entrain de crier. Ils visualisent ce qu'il va se passer pour mieux l'anticiper et être plus réactif à l'environnement. Il y a donc un travail en amont à chaque mission. Prise de détails qui peuvent sembler insignifiant : briefing, choix des armes, choix d'une stratégie. Mais qui mis bout à bout changent du tout ou tout la finalité d'une opération.

Quand tu te lèves le matin, imagine déjà la fin de journée. Tu as tout finit. Tu as franchit toutes les étapes et tu es encore là. Plus fort que jamais, plus endurant que jamais mais surtout toujours là. C'était si terrible cette journée ?

2. Le contrôle du stress

Plus que nous pauvres humains ces marines sont soumis à une pression qui ne se termine jamais. Ils n'ont pas des piles de dossier à terminer. Non ils ont des vies (ainsi que la leur) à sauver. La moindre erreur et c'est le drame. Ils portent un permanence un poids bien plus lourd que ce que nous sommes capables de porter.

Pour ça ils utilisent une technique spécifique. La respiration 4 par 4 par 4.

  • Inspirer 4 secondes
  • Retenir son souffle 4 secondes
  • Expirer sur 4 secondes
  • Le tout pendant 4 minutes
Cet exercice permet un contrôle de ses émotions et du stress. Ils ne feront donc pas de décisions hâtives ni irréfléchie. Encore une fois toute une stratégie d'optimisation !

3. Manger l'éléphant

Ça se mange un éléphant ? Oui : bouchée par bouchée.

Chaque mission est décomposé en un tableau d'étapes plus petites. Ainsi le plan est bien rodé. Les SEALs voient l'objectif, connaissent les étapes et savent comment concrétiser le but. Rien de plus simple.

Toi aussi fais des plans, des listes à remplir qui te rapprochent de tes objectifs. Sans ça tu as vite fais de t'égarer...

4. Recadrer les événements

Nous avons plus de contrôle que nous pensons.

Des événements les affectent. Ils sont habitués à voir la mort et à appeler la faucheuse avant l'heure. Pour eux cela ne représente qu'une formalité, une croix sur une liste d’ennemis à abattre.

Alors que toi dès qu'une misère t'arrive tu es dans tout tes états. Tu te plains et perds tes moyens. Bon sang ! C'est sûrement trois fois rien ! Pour passer à côté de ce qui n'est pas important (Lire "Ce que l'on ne contrôle pas") il y a une technique des marines.

Le recadrage. Extrêmement simple : Dans le pire des scénarios que se serait il passé ? Ha ! Pas ce qui vient de t'arriver.. Bien pire ! Il faut toujours relativiser. Rien n'est définitif, apprends à passer outre. Comme disent les anglophones "Don't give a fuck"

5. Les petites victoires

Que faire quand tout va mal ? Que le monde s'écroule. Imagine une journée morose, sans saveur ou ta femme décide de te quitter, que le chien se barre sans raison et que tu brises ton téléphone. On reprend à l'étape 4, le recadrage :

  • Il pleut ? Demain il fera beau
  • Ta femme te quitte ? Un soucis de moins, elle ne te méritait pas
  • Le chien part ? Chouette, plus besoin de le nourrir ni de le promener
  • Ton téléphone explose ? On en rachète un
Dit comme ça, cette journée paraît pas trop mal non ? Ensuite, tu rajoutes de petits objectifs pour remonter au niveau d'avant, par exemple rencontrer une autre femme... Aller acheter un téléphone si tu en as vraiment besoin.

mardi 1 novembre 2016

Comment ne plus être fatigué

18:35:00
Et si le secret de la forme passait par le sommeil ? On passe un tier de notre vie à ronfler, mais est-ce vraiment utile ? A priori, on ne fait rien de ce temps. Pourtant c'est faux. Le sommeil ne contribue pas à réparer de l'effort physique mais de l'effort mental. Il garde le cerveau en bonne santé et garantit son bon fonctionnement.



A la place d'un article j'ai créé une infographie. J'ai toujours aimé la façon dont elles résument la globalité d'un sujet en un temps record. Il s'agit là de ma première infographie, qui je trouve n'est pas trop mal même si le choix des couleurs et du style n'est pas du meilleur effet. Le but est de partager des informations à l'aide d'une image lisible et compréhensible par tous. J'espère que ça te plaira !

Infographie : le sommeil
Ce qui est pratique avec ce format c'est que tu peux enregistrer l'image et la visionner quand tu veux sans internet. Donc si tu trouves ce contenu intéressant, enregistre le pour l'avoir sous la main plus tard. Si tu as des amis qui ont des soucis avec le sommeil, n'oublie pas de leur partager, peut être que ça pourrait les intéresser. Il te remercieront, je te le garantis !

Les 11 piliers de la réussite

18:09:00
Le voilà, il arrive ! Mon premier livre ! Enfin, ebook. Le concept est très simple : le livre donne plusieurs clés par chapitre dans le but d'arrêter d'être médiocre. Mais également des secrets qui sont liées au bonheur et à la réussite. Il peut se résumer en 11 principes qui sont développés dans celui-ci :

  • Comprendre les règles du jeu
  • Forger sa concentration et sa patience 
  • Le subconscient et les pensées positives
  • Les valeurs du sommeil
  • Apprendre à décider
  • Dépasser ses limites
  • Développer ses connaissances
  • L'optimisation du temps
  • La création d'habitudes
  • L'art de la méditation
  • La chance n'existe pas




Parmi toutes ces idées il y a des objectifs à remplir pour te permettre d'appliquer directement ce que tu as lus. La majorité du contenu provient de mes lectures mais également de mes réflexions personnelles. Ce qui rend ce livre unique en son genre. Pour aller plus loin, c'est un des rares livres qui donnent autant de clés pour réussir ça vie. Ce qui ne se trouve pas facilement, de plus il a été entièrement écrit par un adolescent ce qui permet d'avoir un point de vue totalement différent de la des autres auteurs. Cependant cela veut également dire que j'ai moins d'expérience que vous les lecteurs de ce livre. J'espère combler ce vide par les nombreux exemples et les appels à l'action.

Comme dit, ce livre est le fruit de mes lectures, depuis un certains moment déjà je lis de plus en plus. Environ une heure tous les soirs avant de m'endormir, ce qui est évoqué plus en détail dans le livre. Je souhaite te transmettre tout ce que j'ai compris par cet ouvrage. Mais surtout ce qui concerne le développement personnel. Dans le sens ou nous sommes tous touchés par celui-ci. Il n'y a pas de limite et c'est pourquoi je te partage cet outil qui devrait te guider à travers les méandres de la médiocrité en quête de la réussite. Car elle ne dépend que de toi ! C'est à toi de prendre ta vie en main, de la transformer de la façon qui te convient. Parce que tu en es capable, nous le sommes tous ! Ce n'est qu'une question de temps, ou de détermination.

Ici, tu peux obtenir ta version gratuite du livre. C'est très simple, il suffit que tu renseignes ton adresse mail en t'inscrivant à ma newsletter. Tu vas recevoir un lien dans ta boite mail qui te guidera vers le livre. En espérant t'inspirer !


Cessons d'être médiocre
Tu hésites encore ? Tu risques de passer à côté de concepts clés ! Eh puis, ce n'est qu'un mail ! Dans le pire des cas, si tu es déçu tu peux encore te désinscrire de la newsletter. Satisfait ou remboursé comme on dit... Enfin, de toute façon ça ne te coûte rien !




Comment j'ai appris l'anglais

18:07:00
Désormais l'anglais est monnaie courante. Même si nous sommes en France il n'est pas rare de trouver des slogans ou certains mots en anglais. Cela ne choque pas et reste compréhensible par tous. C'est une nouvelle culture qui s'offre à nous. Un nouveau monde de possibilités et de stratégies qui sont offertes par un autre langage. Il serait bien égoïste penser que les meilleurs ressources sont uniquement écrite en français. C'est pour cela qu'il est impératif d'apprendre à lire, comprendre, écrire et parler en anglais.

L'Union Jack, le drapeau anglais
Cela va faire environ 3 années que je commence à comprendre le sens et la portée des mots anglais. Pouvoir lire des articles, des informations dans une autre langue est un outil formidable. D'autant plus que durant cette période je passais le plus gros de mon temps à jouer. Le soucis, c'est que les guides de ressources les plus complets n'existent qu'en anglais. Il n'y avait pas de traductions et si c'était le cas elles étaient de mauvaises qualités. Pas d'échappatoire possible, il fallait apprendre l'anglais pour s'en tirer !

J'ai compris qu'il était obligatoire que je maîtrise la langue de Shakespeare. J'ai donc commencé peu à peu à mettre mes jeux en anglais. J'ai donc acquis un vocabulaire de base satisfaisant, d'autant plus que je jouais à minecraft. J'ai donc pris connaissance de la version anglaise des épées, de la terre, des poteaux et de bien d'autres mots qui, aujourd'hui encore me sont utiles.

Un exemple de construction dans minecraft
Les plus gros serveurs de jeux étaient internationaux, j'ai donc dû améliorer mes notions pour pouvoir comprendre ce qu'il se disait dans le chat. Mais aussi pour avoir connaissance des futurs événements et des règles des serveurs. Bien sûr, la documentation en ligne ainsi que la langue parlée était l'anglais.

Pour aller plus loin j'ai même participé sur les forums de ces serveurs. Je me doute bien que l'anglais qui y est parlé n'est pas le pas le plus qualitatif mais cela ma permit de m'exercer. Ensuite, avec un ami on a créé notre propre serveur. C'est là que l'anglais est devenu indispensable. Tous les guides ainsi que les différentes commandes et les personnalisations étaient uniquement en anglais. Il n'y avait plus le choix. Il fallait comprendre pour réussir notre projet. A l'aide de nos connaissances et de l'aide précieuse de google traduction nous avons pu géré notre serveur qui n'a pas eu un grand succès. L'important c'était simplement d'avoir eu cette expérience.

Une interface type de gestion d'un serveur à l'aide d'un FTP : File Transfer Protocol
Aujourd'hui encore, je me sers de l'anglais au quotidien. Je consulte fréquemment le site www.quora.com. Il est très intéressant, c'est un site de question/réponse où des personnes qualifiés répondent à tes questions les plus tordus. Mais également pour les cours sachant que l'anglais est noté au baccalauréat. En bref, j'ai vraiment besoin de l'anglais fréquemment c'est pour cela que j'écris cet article. Si tu ne le maîtrise pas encore, arrange toi pour y arriver.

Tu peux utiliser une méthode similaire à la mienne, apprendre petit à petit avec les jeux vidéos, la culture internet et apprendre en fonction de tes besoins et de tes envies. Pour commencer tu peux lire des articles ou regarder des vidéos avec les sous titres. Dès que tu ne comprend pas un mot tu as la possibilité de chercher la traduction instantanément sur internet. C'est pratique pour progresser vite, tu ne perds pas de temps et tu te divertis en même temps. Le top !

N'oublie pas pourquoi tu en as besoin. Que ce soit pour avoir avoir accès à plus de contenu, pour le plaisir d'apprendre ou par besoin professionnel, il y a sûrement une raison qui va te pousser à te lancer dans l'apprentissage de cette langue. Pourquoi ne pas prendre les devant et se lancer dès maintenant ? Histoire d'avoir un coup d'avance !

Comment les horoscopes nous mentent

18:07:00
Pour commencer on va jouer à un jeu. Tu vas lire ce texte pour être dans l'ambiance :

"Vous avez besoin d'être aimé et admiré, et pourtant vous êtes critique avec vous-même. Vous avez certes des points faibles dans votre personnalité, mais vous savez généralement les compenser. Vous avez un potentiel considérable que vous n'avez pas tourné à votre avantage. A l'extérieur vous êtes discipliné et vous savez vous contrôler, mais à l'intérieur vous tendez à être préoccupé et pas très sûr de vous-même. Parfois vous vous demandez sérieusement si vous avez pris la bonne décision ou fait ce qu'il fallait. Vous préférez une certaine dose de changement et de variété, et devenez insatisfait si on vous entoure de restrictions et de limitations. Vous vous flattez d'être un esprit indépendant et vous n'acceptez l'opinion d'autrui que dûment démontrée. Vous pensez qu'il est maladroit de se révéler trop facilement aux autres. Par moment vous êtes très extraverti, bavard et sociable, tandis qu'à d'autres moments vous êtes introverti, circonspect, et réservé. Certaines de vos aspirations tendent à être assez irréalistes".

Ça te correspond non ? Là tu es entrain de te dire que je suis un magicien... Pourtant, c'est ce texte qui a été utilisé pour démontrer l'effet Barnum ou de validation subjective. En 1949, après un test de personnalité le psychologue Forer à remis ce texte à un groupe d'élève. Il n'a pas tenu compte des résultats du test et tout le monde à reçu le résultat ci-dessus. Les étudiants ont dû le noté de 0 (pas fiable) à 5 (réaliste) la note moyenne était de 4,26. Tu n'es donc pas le seul à t'être laissé berner !

Tout ce que tu viens de lire ne concerne que des généralités ou des points vagues. Il n'y a rien de concret et le texte est pensé pour s'appliquer à tout le monde, pour que dans ta tête il y est des "Oui, ça me correspond". L'effet varie en fonction en fonction de quatre paramètres :
  • La persuasion du sujet que l’analyse ne s'applique qu'à lui (C'est le cas pour le test)
  • La reconnaissance par le sujet d'une autorité dans l'évaluateur (Forer était psychologue)
  • La présence dans l'analyse de traits majoritairement positifs
  • Fonctionne mieux sur les personnes qui cherchent à être "approuvé"
Les 12 signes astraux présent dans un horoscope
Mais quel est le rapport avec les horoscopes ? Simplement que le texte ci-dessus est inspiré d'un grand nombre de ceux-ci. Les horoscopes sont donc basées sur une extrapolation des mots. On arrive à s'identifier à un texte extrêmement généraliste dont n'importe qui pourrait être la cible. Notre cerveau renvoie des images, des souvenirs ou des événements en rapport avec le texte ce qui nous en rapproche. On se sent donc comme le personnage décrit par le texte car les informations données par celui-ci sont adaptables pour tous.

Les descriptions des horoscopes sont vagues. Elles n'ont pas un but informatif mais peuvent être interprétés de bien des façons. C'est tout l’intérêt de  l'effet Barnum. Chacun doit croire que le texte à été spécialement écrit pour lui. C'est ce qui permet d'avoir un résultat aussi fort. Certaines personnes sont mêmes prêtes à payer pour avoir un horoscope personnalisé qui n'est autre qu'une description collant à n'importe qui.

Pour te le prouver, et te montrer comment ça marche plus en détail on va faire un autre test. Si tu n'as pas envie de répondre ce n'est pas grave. Lit juste les étapes ça te permettra de comprendre l'idée.

Prenez une feuille de papier et faites une colonne de 1 à 10 :



Suivez ensuite les instructions en répondant le plus spontanément possible :

En face du chiffre 1, écrivez le chiffre de votre jour de naissance.
A côté des chiffres 2 et 6, inscrivez le nom d'une personne du sexe opposé que vous connaissez.
A côté des chiffres 3, 4 et 5, écrirez le nom de personnes proches (ami, parents, etc.).
Ecrivez quatre titres de chansons en 7, 8, 9 et 10 (une seule chanson à la fois).

Résultats du test :


Si le nombre que vous avez mis en face de « 1 » est un nombre pair, vous êtes une personne capable de fournir beaucoup d'efforts. S'il est impair, vous avez un grand sens des responsabilités.
Vous partagez beaucoup de points communs avec la personne n° 2.
Celle que l'on trouve en n° 6 est une personne que vous appréciez beaucoup mais que vous ressentez comme problématique.
Vous tenez particulièrement à la personne en n° 3.
Le nom placé en n° 4 est celui d'une personne dont vous connaissez des situations particulièrement compliquées de sa vie.
La chanson n° 7 est celle qui s'associe avec la personne en n° 2.
Le titre en n° 8 est la chanson pour la personne en n° 6.
La chanson donnée en 9 est celle qui en dit le plus sur votre état d'esprit en ce moment.
La chanson placée en 10 est celle qui révèle vos sentiments généraux par rapport à la vie.

Si tu penses que ces résultats sont vrais, tu es victime de l'effet Barnum. Le texte donne des informations à ton cerveau, elles sont incomplètes alors tu vas "remplir les trous" automatiquement pour les rendre cohérente. Avec ce genre de test on se rend bien compte que notre logique n'est pas parfaite. Lorsqu'il manque des éléments on va les inventer. Il est donc fort probable que cela ne colle pas à la réalité mais plutôt à l'imaginaire. Quand tu n'as pas toutes les pièces d'un puzzle tu ne peux pas le terminer. C'est pareil pour les différentes situations dans la vie. Il faut faire très attention à ne pas mélanger les faits réels et imaginaires. Ils modifient notre perception et donc notre rapport aux autres. L'imaginaire n'est pas un allié des plus utiles pour comprendre certaines situation. Mais permet d'aborder facilement des abstractions.

Un tableau abstrait
Regarde ce tableau. Il n'y a rien de précis de dessiné. Ce sont juste des formes aux hasard. Peut être que tu vois un masque, des yeux, une goutte d'eau ou un soleil. Mais tout cela relève de ton imagination. Pour aborder l'art il en faut énormément car ce n'est pas tant ce qui est visible qui compte mais plutôt ce que l'on comprend de ces formes et comment on les interprètes. C'est l'équivalent d'observer des éléphants dans les nuages qui se trémoussent au-dessus de nos tête. C'est juste l'extrapolation d'une forme.

Donc aucun test de personnalité présent dans les magazines ou quoi que ce soit d'autre n'a de valeur réel. Ce n'est que du pipo. Il s'agit juste de jeux ayant pour but de faire passer le temps.

Comme dit La Rochefoucauld : "Quelque bien qu'on dise de nous, on ne nous apprend rien de nouveau."

Fake it till you make it

18:06:00
Si tu t’intéresses à ce que l'on nomme de plus en plus couramment le business, cette formule ne doit pas t'être inconnu. Elle résume à elle seule un état d'esprit qui est valable dans d'innombrables domaines. Nous allons voir d'où vient cette pensée, comment l'appliquer et les bénéfices qu'elle peut t'apporter. Mais d'abord, ça veut dire quoi ?

Fake it till you make it peut se traduire par fait semblant jusqu'à ce que tu le réalises. Tu vas me dire que c'est insensé, comment peut on faire semblant d'avoir réaliser quelque chose tout en le réalisant ? C'est stupide non ? D'ailleurs, c'est même se mentir à soi même. Pourtant, dans le monde des affaires c'est monnaie courante ! De nombreuses entreprises ont appliquées cette méthode pour arriver à leur fin ; aujourd'hui elles prospèrent !

L'exemple le plus concret qui existe est Dropbox. Tu connais sûrement ce logiciel bien pratique qui permet de partager ses fichiers entre plusieurs ordinateurs à distance. Seulement, pour lancer un produit comme celui-ci il faut énormément d'argent. En premier pour coder le logiciel et pour acheter des serveurs puissants dans le but gérer des paquets de données. Plutôt cher comme investissement. N'importe qui n'a pas le luxe de pouvoir dépenser autant. C'est pour cela que la majorité des startup font appelle à des investisseurs qui parient leur argent sur les jeunes entreprises.

Là ou le co-fondateur de Dropbox, Drew Houston fait fort c'est qu'il mise tout sur une vidéo. Celle-ci présente le logiciel entièrement fonctionnel.



Pourtant, il n'en est rien. Le logiciel n'est encore qu'un rêve à l'heure de cette vidéo. Il n'existe pas et ne fonctionne pas encore. Le but ? Vérifier si le fait de partager des documents entre ordinateurs intéresse des gens. Pour son plus grand bonheur, Drew va récolter des tas d'adresses mail ainsi que des investisseurs pour son projet seulement grâce à cette vidéo.

En effet, c'est juste dément ! Une superbe stratégie qui a fonctionné à merveille ! Malgré un pari risqué bien entendu. Bien que le pari fut hasardeux, le créateur n'avait que peu à perdre. Il n'a rien réalisé du tout au début si ce n'est la fameuse vidéo. Le business c'est comme jouer aux dés. Sauf que le hasard est manipulé par la volonté de gagner.

Le jeu du hasard, influencé par la volonté de gagner
Mais comment adapter cette stratégie à notre vie quotidienne ? C'est bien beau ce cas, mais moi j'aimerais réussir à me développer moi et non pas une entreprise.

Pas d'impatience, on y arrive. Pour le cas de n'importe qui cette idée permet de régler nombre de problèmes. Peut être que tu fais partis de ces personnes qui voient le verre à moitié vide, qui arbore un sourire renversé ainsi que des plaintes maussades. Saches que tu n'en a plus pour très longtemps à être dans cet état avec ce qui suit.

Il suffit en réalité de penser que l'on représente un état pour ne faire qu'un avec lui. Tu souhaites être plus confiant ? Pense à une personne qui t'inspire, comment pourrait elle gérer la situation dans laquelle tu es actuellement ? Sûrement mieux que toi te dis-tu. Alors deviens cette personne, pense comme elle, pense que tu es confiant et tu le deviendras. Nous avons tendance à orienter nos pensées vers ce que nous croyons or, si tu crois être confiant, ton subconscient s’imprégnera de cet état de confiance et tu le deviendra.

N'oublie pas qu'un sourire dès le matin peut changer ta journée. Comme décrit dans la paragraphe du dessus nous tendons vers ce que nous pensons. Mais si nous agissons c'est encore mieux. Si tu souris, ton expression va s'adoucir et tu arboreras une meilleure humeur. C'est prouvé ! Essaie donc quand tu es stressés ou en colère, souris un coup :)

11 citations inspirantes

18:04:00
Les citations ! C'est vraiment extraordinaire. Elles permettent de partager un état d'âme, une façon de penser mais aussi des informations. Le tout en quelques lignes voir mots seulement ! Il suffit d'en lire une pour se sentir ressourcer et d'attaque pour avancer. C'est pour ça que j'ai décidé de vous partager ces citations qui me paraissent primordiales et que tout le monde devrait au moins avoir lu une fois. En bref, un concentré d'informations et de sagesse en quelques lignes écrit par les plus grands personnages de notre monde !



La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. Albert Einstein

Une invitation à agir différemment pour obtenir des résultats différents. Comment peut-on espérer avoir du succès si l'on n'agit pas comme une personne qui est en quête de celui-ci ? A toi de trouver un moyen d'agir de façon diversifié pour atteindre tes objectifs !

Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. Confucius

Cette citation dit vrai ! Si tu as une passion, tu dois te rendre compte que le temps passe différemment quand tu travailles dessus. Alors imagine-la transformée en ton travail ! Tu seras beaucoup plus motivé et tu ne le verra même plus comme une tâche.

 L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres. Confucius

Autrement dit : il faut commencer petit pour arriver à un grand résultat ! Avant tout grand projet, les constructeurs commencent petit, que ce soit une maquette ou un plan. Tout simplement parce qu'il faut avoir la méthode pour créer du petit avant d'arriver à la grandeur.

Souvenez-vous que le bonheur dépend non pas de ce que vous êtes ou de ce que vous possédez, mais uniquement de votre façon de penser. Dale Carnegie

Ce qui est bien vrai, le bonheur n'est pas une destination mais un état d'esprit ! N'importe qui peut être heureux avec un rien, ce n'est qu'une façon de penser. Comme dit la fameuse chanson du Roi Lion :

Il en faut peu pour être heureux
Vraiment très peu pour être heureux
Il faut se satisfaire du nécessaire...

Il y a des gens qui disent qu’ils peuvent, et d’autres qu’ils ne peuvent pas. En général ils ont tous raison. Henry Ford

Par là Ford exprime le fait que la volonté est l'acteur principal de tes actions. Pour réaliser ce que tu veux, tu dois croire en toi ! Croire en ton projet ! Sinon, ça ne marchera simplement pas.

Nos doutes sont des traîtres et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon parce que nous avons peur d’essayer. Shakespeare

Nos doutes sont des obstacles à notre réussite. Ils permettent de trouver des excuses qui n'en sont pas et qui nous empêchent de réaliser notre vie telle que nous la concevons. Il faut oser prendre des risques dans la vie pour réussir.

Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. Gandhi

Une façon originale de voir la vie. La connaissance est mise en avant, pour une bonne raison d'ailleurs. Même si nous devons tous mourir un jour, nous partageons nos connaissances à d'autres. Ce qui veut dire qu'elles ne meurent jamais ! Elles permettent donc d'améliorer le monde par des écrits et pensées datant du passé mais remises au goût du jour.

L’enthousiasme est à la base de tout progrès. Henry Ford

Il est vrai que sans motivation, sans joie au travail rien ne se crée. Les grands innovateurs ont tous été passionnés par la création de leurs rêves dans la réalité. Il est donc impossible d'avancer sans enthousiasme, ce qui nous amène à la citation suivante :

L’impossible est le seul adversaire digne de l’homme. Andrée Chédid

L'humanité repousse constamment les limites du possible. Ce qui fait que l'impossible d'hier devient possible aujourd'hui, il suffit de trouver ce qui était impossible il y a un certains temps et de le moderniser pour le rendre possible. Bien entendu ce concept magique ne marche pas pour tout !

Réussir, c’est se relever juste une fois de plus que chuter. Oliver Goldsmith

La vie n'est qu'une succession de hauts et de bas. Le but étant de rester en haut le plus longtemps possible mais d'abord il faut y arriver en haut. C'est quand tu es au fond du gouffre que tu n'as plus rien à perdre et donc que tu es plus à même de remonter vers la surface !

Les challenges sont les portes d'accès aux niveaux supérieurs. Yannick Duchscher

Sinon ça serait trop simple !

Voici un petit récapitulatif de ces magnifiques mots qui embellissent nos journées :


citation réussite succès
11 citations

Si ce genre de phrases de plaisent, je suis convaincu que mon livre ne fera autant. Une bonne heure de lecture pour comprendre différentes méthodes pour travailler ta vie, un must-have ! Tu peux le trouve à ce lien.

Un discours d’exception, une ambition à base de motivation

18:04:00
Comment parler de succès sans daigner évoquer le nom de Steve Jobs ? C'est tout bonnement impossible. Cet homme présente toutes les caractéristiques des hommes qui réussissent : La patience de surmonter les épreuves, la détermination pour ne jamais abandonner mais aussi la volonté de grandir. Nous avons tous à apprendre de ces valeurs car elles sont fondatrices du bonheur

Cet homme qui est parti de si peu nous livre la recette de son succès. Comment, et pourquoi a t-il pu réussir alors que tant d'autres échouent ? D'autant plus qu'il fait partit du cercle très privé des milliardaires. Malheureusement il n'est plus de ce monde pour raconter ces exploits. Cependant, il nous laisse quand même un héritage d'une valeur inestimable : ce discours qu'il a clamé à Stanford en 2005.


Photo steve jobs
Steve jobs au sommet de sa forme
« C’est un honneur de me trouver parmi vous aujourd’hui et d’assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde. Je n’ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n’ai même jamais été témoin d’une remise de diplômes dans une université. Je veux vous faire partager aujourd’hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C’est tout. Rien d’extraordinaire. Juste trois expériences.
« Pourquoi j’ai eu raison de laisser tomber l’université »
La première concerne les incidences imprévues. J’ai abandonné mes études au Reed College au bout de six mois, mais j’y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement. Pourquoi n’ai-je pas poursuivi ?
Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs. Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu’ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d’attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit : « Nous avons un petit garçon qui n’était pas prévu. Le voulez-vous ? » Ils répondirent : « Bien sûr. » Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n’avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n’avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d’adoption et ne s’y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j’irais à l’université.
Dix-sept ans plus tard, j’entrais donc à l’université. Mais j’avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité. Au bout de six mois, je n’en voyais toujours pas la justification. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n’imaginais pas comment l’université pouvait m’aider à trouver ma voie. J’étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant. Je décidai donc de laisser tomber. Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c’est un des meilleurs choix que j’aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j’abandonnais les matières obligatoires qui m’ennuyaient pour suivre les cours qui m’intéressaient.
Tout n’était pas rose. Je n’avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis. Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la ville et m’offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal. Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l’avenir. Laissez-moi vous donner un exemple : le Reed College dispensait probablement alors le meilleur enseignement de la typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était parfaitement calligraphiée. Parce que je n’avais pas à suivre de cours obligatoires, je décidai de m’inscrire en classe de calligraphie. C’est ainsi que j’appris tout ce qui concernait l’empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d’une typographie. C’était un art ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J’étais fasciné.
Rien de tout cela n’était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie. Pourtant, dix ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh, cet acquis me revint. Et nous l’incorporâmes dans le Mac. Ce fut le premier ordinateur doté d’une typographie élégante. Si je n’avais pas suivi ces cours à l’université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels. Et comme Windows s’est borné à copier le Mac, il est probable qu’aucun ordinateur personnel n’en disposerait. Si je n’avais pas laissé tomber mes études à l’université, je n’aurais jamais appris la calligraphie, et les ordinateurs personnels n’auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j’étais à l’université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.
On ne peut prévoir l’incidence qu’auront certains événements dans le futur ; c’est après coup seulement qu’apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu’ils joueront un rôle dans votre avenir. L’essentiel est de croire en quelque chose – votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.
« Pourquoi mon départ forcé d’Apple fut salutaire »
Ma deuxième histoire concerne la passion et l’échec. J’ai eu la chance d’aimer très tôt ce que je faisais. J’avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d’Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, dix ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d’affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d’avoir 30 ans.
C’est alors que je fus viré. Comment peut-on vous virer d’une société que vous avez créée ? C’est bien simple, Apple ayant pris de l’importance, nous avons engagé quelqu’un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l’entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien. Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d’administration s’est rangé de son côté. C’est ainsi qu’à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d’être de ma vie n’existait plus. J’étais en miettes.
Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J’avais l’impression d’avoir trahi la génération qui m’avait précédé – d’avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C’était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley. Puis j’ai peu à peu compris une chose – j’aimais toujours ce que je faisais. Ce qui m’était arrivé chez Apple n’y changeait rien. J’avais été éconduit, mais j’étais toujours amoureux. J’ai alors décidé de repartir de zéro.
Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d’Apple fut salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l’une des périodes les plus créatives de ma vie.
Pendant les cinq années qui suivirent, j’ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d’une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse. Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d’animation en trois dimensions, Toy Story , est aujourd’hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd’hui la clé de la renaissance d’Apple. Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.
Tout cela ne serait pas arrivé si je n’avais pas été viré d’Apple. La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin. Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c’est mon amour pour ce que je faisais qui m’a permis de continuer. Il faut savoir découvrir ce que l’on aime et qui l’on aime. Le travail occupe une grande partie de l’existence, et la seule manière d’être pleinement satisfait est d’apprécier ce que l’on fait. Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C’est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s’améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu’à ce que vous trouviez.
« Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie »
Ma troisième histoire concerne la mort. A l’âge de 17 ans, j’ai lu une citation qui disait à peu près ceci : « Si vous vivez chaque jour comme s’il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. » Elle m’est restée en mémoire et, depuis, pendant les trente-trois années écoulées, je me suis regardé dans la gla-ce le matin en me disant : « Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j’aimerais faire ce que je vais faire tout à l’heure ? » Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j’ai besoin de changement.
Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j’ai découvert de plus efficace pour m’aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout – tout ce que l’on attend de l’extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l’échec – s’efface devant la mort, ne laissant que l’essentiel. Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d’éviter le piège qui consiste à croire que l’on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n’y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.
Il y a un an environ, on découvrait que j’avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j’étais atteint d’une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu’était le pancréas. Les médecins m’annoncèrent que c’était un cancer probablement incurable, et que j’en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie : « Préparez-vous à mourir. » Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les dix prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille. En bref, faire vos adieux.
J’ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m’a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l’estomac et l’intestin. J’étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m’a raconté qu’en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j’avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie. On m’a opéré et je vais bien.
Ce fut mon seul contact avec la mort, et j’espère qu’il le restera pendant encore quelques dizaines d’années. Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n’était pour moi qu’un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir. Même ceux qui veulent aller au ciel n’ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n’y a jamais échappé. Et c’est bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux. C’est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l’ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l’ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d’être aussi dramatique, mais c’est la vérité.
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure. Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.
Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog , l’une des bibles de ma génération. Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d’ici, à Menlo Park, et il l’avait marquée de sa veine poétique. C’était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l’édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire, des paires de ciseaux et des appareils Polaroid. C’était une sorte de Google en livre de poche, trente-cinq ans avant la création de Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d’idées épatantes.
Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth Catalog . Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro. C’était au milieu des années 1970, et j’avais votre âge. La quatrième de couverture montrait la photo d’une route de campagne prise au petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l’auto-stop si vous avez l’esprit d’aventure. Dessous, on lisait : « Soyez insatiables. Soyez fous. » C’était leur message d’adieu. Soyez insatiables. Soyez fous. C’est le vœu que j’ai toujours formé pour moi. Et aujourd’hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d’une nouvelle vie, c’est ce que je vous souhaite.
Soyez insatiables. Soyez fous.
Merci à tous.»
Tiré du site esprit-riche.com
Cet exemple est concret. Il prouve qu'avec de la passion n'importe qui peu arriver à de grands résultats. Il suffit de prendre son temps et de ne jamais baisser les bras. Nous ne voyons pas toujours l'avenir avec la plus grande gaieté mais la faculté de biaisé pour percevoir un futur meilleur peut nous amener à grandir. La détermination est ce qui permet de surmonter les épreuves quelles qu'elles soient.  Il ne jamais laisser la dérive nous emporter,  même dans les moments les plus sombres de notre histoire. Chaque page à son histoire, à certains moment il faut commencer à écrire le prochain chapitre. Tout cela est impossible sans la passion qui permet de se donner à 100%. Dans tous les cas, tu peux utiliser ce texte pour puiser ta motivation. Il n'y a rien de mieux que de s'inspirer de ce qui se fait de mieux pour l'améliorer !